Ce pot à crayon est une créa perso de perlita54 (merci miss $) ). Après avoir galéré pour le début, pour commencer je commençais le pot à l'envers et ensuite je mettais pas assez de perle (99 perles au départ j'en mettais que 89 :o c sur sa pose problème lol), bon après avoir résolu mes problèmes voici le résulta :-)
silvertimes67, Posté le mardi 01 mars 2016 05:33
Bonjour
il fait froid, 3°, la terre commence enfin à sécher dans les prés et chemins
Speed est au pré, il va bien, il a eu ses granulés je retourne le voir après
Grace a eu sa promenade en vélo
Bon mardi
Passe une bonne journée
bluestar054, Posté le vendredi 18 septembre 2015 14:52
Bonsoir
passe une bonne soirée
ainsi qu'une bonne nuit
Très bon weekend.biz
martiniquaiz, Posté le dimanche 28 juin 2015 13:22
merci pour les photos de st Lucie on étais 4 adultes 3 enfants dans un petit bateaux
on étais tremper la peur de ma vie je ne pouvais pas marche arrière
silvertimes67, Posté le dimanche 14 juin 2015 16:06
ah oui pour ta jument , attends encore quelques jours oui tu verra , si elle est super sensible des sabots , clair
agnes1930, Posté le lundi 08 juin 2015 01:13
bonjours mes ami(e)s tout dabord merci pour vos com's
C est sur une envolee de bisous
Rien que pour toi, que je viens te souhaiter
Une bonne journée en ce lunde 8 JUIN 2015
gros Bisous ton amie agnes
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bluestar054, Posté le samedi 06 juin 2015 17:12
Bonsoir
hier je ne suis pas passée sur les blogs
problème avec internet à cause de l orage
Je te souhaite une bonne soirée
et une bonne nuit...biz
pattybijoux, Posté le vendredi 22 mai 2015 08:08
Angélus
I
Tapi dans les rochers qui regardent la plage,
Au pied de la falaise est le petit village.
Sur les vagues ses toits ont l’air de se pencher,
Et ses mâts de bateaux entourent son clocher.
C’est en mai. - L’Océan, dans ces belles journées,
A l’azur tiède et clair des méditerranées.
Il chante, et le soleil rend plus brillante encor
Son écume glissant le long des sables d’or.
L’odeur du flot se mêle aux parfums de la terre
Et, là-bas, le petit jardin du presbytère,
A mi-côte, est rempli de fleurs et de rayons.
Blond, rieur et chassant aux premiers papillons,
Un bel enfant y joue et va, sur la pelouse,
Du vieux prêtre en soutane au vieux bonhomme en blouse
Qui sont là, l’un disant ses prières tout bas,
L’autre arrosant des fleurs qu’il ne regarde pas,
Car pour mieux voir l’enfant, qui court dans la lumière,
L’un néglige ses fleurs et l’autre sa prière ;
Et tous les deux se font des sourires joyeux.
Le prêtre est le curé de l’endroit ; l’autre vieux
En est le fossoyeur. Le premier dans sa cure
Mène depuis vingt ans sa douce vie obscure.
Ce juste a fait le bien, ainsi qu’il l’a prêché,
Et se laisse appeler bonhomme à l’évêché,
Sans s’étonner et sans que son zèle en décroisse.
Comme le cimetière est près de la paroisse,
Qu’il est bien seul, qu’il aime à deviser un peu
En se chauffant les pieds, le soir, au coin du feu,
Et comme il n’entend rien aux choses maritimes,
Le fossoyeur et lui sont devenus intimes.
Car c’est, à la campagne, un causeur assuré
Qu’un soldat vétéran auprès d’un vieux curé.
Celui-là, revenu dès longtemps au village,
Invalide vaincu par la guerre et par l’âge,
Trop vieux pour devenir laboureur ou marin,
Est fossoyeur, et chante, aux grands jours, au lutrin.
Or, c’est un compagnon agréable au vieux prêtre,
Disant trop longuement ses batailles, peut-être,
Mais résigné, naïf, n’engendrant point l’ennui,
Et que le curé sait doux et bon comme lui.
Tous deux s’aiment. Et quant au bel enfant qui joue,
Le ciel dans le regard, l’aurore sur la joue,
Et pour lequel ils ont ce sourire attendri,
C’est Angelus, l’enfant trouvé, leur fils chéri.
Ces cheveux blonds au vent sont la dernière flamme
Qui se reflète encore au miroir de leur âme ;
Et, parmi les bleuets et les coquelicots,
Ce bon rire aux éclats vibrants et musicaux
Leur fait une vieillesse encore ensoleillée.
Car naguère ils étaient bien seuls, et la veillée
Leur semblait longue. Assis près de l’âtre et rêvant,
Tandis qu’ils écoutaient les longs sanglots du vent
Et la mer se brisant aux rochers des presqu’îles,
Un nuage passait sur leurs âmes tranquilles.
La causerie avec le foyer s’éteignait.
Le vieux prêtre fermait son livre, et se signait
Comme contre un désir coupable et qu’on repousse ;
Le vétéran vidait sa pipe sur son pouce ;
Et tous deux se taisaient, songeant qu’ils étaient seuls
Et que tous ces vieux morts, cousus dans leurs linceuls,
Qui venaient réclamer de l’un une prière
Et de l’autre un trou noir au fond du cimetière,
Avaient du moins autour de leur pauvre cercueil
Des femmes qui pleuraient et des enfants en deuil ;
Que ces gens se faisaient répéter la promesse
Que l’on n’oublierait rien, ni les fleurs, ni la messe :
Et qu’eux, lorsqu’ils seraient à jamais endormis
Sous terre, ils n’auraient point de parents ni d’amis
Pour arracher l’ortie et la ronce mauvaise
Frissonnant sur leur tombe au vent de la falaise.
Un soir le fossoyeur, d’un ton mal assuré
Et les deux mains au feu, dit :
« Monsieur le curé,
Puisque vous savez tout, vous devriez me dire
Ce qui fait qu’aujourd’hui nous ne pouvons pas rire ;
Cependant, sans avoir besoin d’être indulgents,
Nous pouvons nous donner comme deux braves gens.
Je ne sais rien, c’est vrai ; que le bon Dieu m’assiste !
Mais pourquoi notre c½ur, étant pur, est-il triste ? »
- C’est vrai, » dit le curé.
Puis, après un moment
De silence, il reprit ; bas et timidement :
« Oui, nous avons rendu, malgré la chair fragile,
A César comme à Dieu ce que veut l’Évangile,
Et nous n’avons ni l’un ni l’autre fait le mal.
Nos c½urs sont innocents comme au jour baptismal ;
Rien ne les assombrit et rien ne les déprave,
Le mien étant pieux et le vôtre étant brave.
Priant pour les vivants et prenant soin des morts,
Nous vieillissons ici, calmes et sans remords.
Et pourtant notre vie est triste !
- Au point, dit l’autre,
Que vous, monsieur l’abbé, vous, plus saint qu’un apôtre,
Je vous ai vu jeter, dans vos jours de souci,
Un regard envieux aux plus pauvres d’ici.
- Le pêcheur, dit le prêtre, heureux parmi les hommes,
N’a pas du laboureur les ennuis économes ;
Il a la mer ; il a sa plage de galets
Pour prendre du varech et sécher ses filets ;
Et, si les flancs épais de sa barque normande
Regorgent de saumon, de congre ou de limande,
Oublieux du péril auquel il s’exposa,
Il revient tout joyeux à son feu de colza,
Sans penser que demain il faut qu’il recommence
Sa bataille éternelle avec la mer immense,
Et pose à son retour des baisers triomphants
Sur les fronts inégaux de ses petits enfants.
Un enfant ! C’est cela qui nous manque peut-être.
Nous n’avons pas d’enfant, hélas !
Et le vieux prêtre
Reprit, en tisonnant tout doucement son feu :
« Tous les moyens sont doux, ami, de plaire à Dieu.
Il est doux d’obéir, d’être humble et d’être chaste ;
Mais notre c½ur humain est-il donc si peu vaste,
Que la patrie et Dieu, dans ce c½ur enfermés,
N’y puissent laisser place à des êtres aimés ?
Pourtant Dieu, c’est l’amour. lisait bien que nous sommes
Aimants ; et puis c’est grand, cela : faire des hommes.
Vivre au milieu de fils chrétiens, c’est aussi beau
Que servir un autel ou défendre un drapeau.
Ce doit être un devoir bien plus lourd qu’on ne pense,
Oui, mais qui porte en lui sa chère récompense.
Nous n’avons pas d’enfant, voilà !
? Certainement,
Dit l’autre. Quand j’étais encore au régiment,
Et quand, les pieds meurtris aux cailloux des montagnes,
Je m’en allais coucher chez les gens des campagnes,
Qui m’accueillaient fort mal et n’avaient d’autre soin
Pour moi que de passer leur fourche dans le foin,
Parfois, en attendant qu’on fît de la lumière,
J’ai vu de beaux enfants jouer dans la chaumière,
Et je leur ai souri. Mais il fallait passer
Sans leur dire un seul mot et sans les embrasser,
Et s’en aller dormir sur son sac, dans la grange.
Mais ces fois-là j’étais plus las, et, c’est étrange,
Je repartais le c½ur plus sombre. »
Et, soupirant,
Ils restèrent au coin de leur foyer mourant,
Sans entendre, du fond de leur pénible rêve,
Se lamenter au loin l’Océan sur la grève.
les-dentelles-d--evelyne, Posté le mercredi 29 avril 2015 01:30
bravo
les-dentelles-d--evelyne, Posté le mercredi 29 avril 2015 01:30
il est tres joli
les-dentelles-d--evelyne, Posté le mercredi 29 avril 2015 01:29
bonjour bonjour
silvertimes67, Posté le dimanche 26 avril 2015 15:19
en fait je vois juste le texte
mais pas de photo
perroquet55, Posté le mercredi 15 avril 2015 13:17
Bonsoir, encore et toujours du beau soleil, c'est magnifique....
Bonne et excellente soirée.....Amitié.....Bisous....
Gisèle.....Jean
sevijeu, Posté le samedi 22 septembre 2012 02:07
ohhhh trop joli!!!!
perleetcreation, Posté le mercredi 11 juillet 2012 17:41
Bonsoir !!!!!!
-.,(¯`-.-♥¯)
(¯`-.-♥¯)-♥
`-.,.♥♥
Mon petit passage du soir
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★l♥¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯★l♥
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Pour te souhaiter
Une très bonne soirée
Suivie d'une très douce nuit
Gros bisous
Ton amie graziella
perlesamicales, Posté le mardi 14 février 2012 13:18
Je l'adore ton pot à crayons, mais je cherche le calimero
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silvertimes67, Posté le dimanche 15 mai 2016 08:48
Speed ce matin était captivé par les calèches et chevaux qui passaient pas loin