Maman ours, un petit loupé au niveau du col, je sais pas comment j'ai fait j'ai suivi les explications bizarre bizarre lol
pattybijoux, Posté le mercredi 24 juin 2015 07:41
Epitaphe sur la mort de damoiselle Elisabeth Ranquet
Ne verse point de pleurs sur cette sépulture,
Passant ; ce lit funèbre est un lit précieux,
Où gît d’un corps tout pur la cendre toute pure ;
Mais le zèle du coeur vit encore en ces lieux.
Avant que de payer le droit de la nature,
Son âme, s’élevant au-delà de ses yeux,
Avait au Créateur uni la créature ;
Et marchant sur la terre elle était dans les cieux.
Les pauvres bien mieux qu’elle ont senti sa richesse
L’humilité, la peine, étaient son allégresse ;
Et son dernier soupir fut un soupir d’amour.
Passant, qu’à son exemple un beau feu te transporte ;
Et, loin de la pleurer d’avoir perdu le jour,
Crois qu’on ne meurt jamais quand on meurt de la sorte.
x-c-nous-les-folles-x, Posté le mercredi 24 juin 2015 05:47
à bientôt
x-c-nous-les-folles-x, Posté le mercredi 24 juin 2015 05:47
te souhaite une bonne journée
x-c-nous-les-folles-x, Posté le mercredi 24 juin 2015 05:47
tiens un seau de cerises pour toi
x-c-nous-les-folles-x, Posté le mercredi 24 juin 2015 05:46
merci pour ton soleil ;il est arrivé chez moi ce matin
x-c-nous-les-folles-x, Posté le mercredi 24 juin 2015 05:46
coucou
lachipie86, Posté le mercredi 24 juin 2015 05:39
coucou ensoleillé
je reviens du medecin
sinusite avec pharyngite
mise sous antibiotique
bisous
bonne journée
bises
acteursactrices, Posté le mercredi 24 juin 2015 04:41
bonne journée
pattybijoux, Posté le mercredi 24 juin 2015 03:53
Epitaphe sur la mort de damoiselle Elisabeth Ranquet
Ne verse point de pleurs sur cette sépulture,
Passant ; ce lit funèbre est un lit précieux,
Où gît d’un corps tout pur la cendre toute pure ;
Mais le zèle du coeur vit encore en ces lieux.
Avant que de payer le droit de la nature,
Son âme, s’élevant au-delà de ses yeux,
Avait au Créateur uni la créature ;
Et marchant sur la terre elle était dans les cieux.
Les pauvres bien mieux qu’elle ont senti sa richesse
L’humilité, la peine, étaient son allégresse ;
Et son dernier soupir fut un soupir d’amour.
Passant, qu’à son exemple un beau feu te transporte ;
Et, loin de la pleurer d’avoir perdu le jour,
Crois qu’on ne meurt jamais quand on meurt de la sorte.
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L-A-I-K-A, Posté le mercredi 24 juin 2015 09:16
bonjour
je viens te souhaiter une bonne après midi
bisous
pat