silvertimes67, Posté le mardi 31 mai 2016 05:42
Bonjour
pas de soleil ni de pluie, pas froid, du vent qui souffle bien
Speed est au pré à brouter de l'herbe, je retourne le voir après, il s'est roulé dans le pré et est sale
Grace a fait une balade en vélo avec mon père Téquila dort
bon mardi
Passe une bonne journée
bluestar054, Posté le jeudi 10 mars 2016 16:35
Bonsoir
passe une très bonne soirée
ainsi qu une bonne nuit
à demain.biz
bluestar054, Posté le dimanche 01 novembre 2015 14:51
Bonsoir
de passage sur ton blog pour venir te souhaiter
une agréable soirée, une bonne nuit...
Très bonne semaine..à demain biz
bluestar054, Posté le jeudi 15 octobre 2015 15:44
Bonsoir
je passe te souhaiter
une excellente soirée
et une bonne nuit.
A demain biz
agnes1930, Posté le mercredi 12 août 2015 01:18
Bonjour-- ______
---/__] .\\\\____
--/...._.|....|...._.o\\
-='(@)------(@)-?
Cette petite voiture roule vers toi.
Pour t'apporter une grosse valise
de tendresse et d'amitié
? ? ? ?..Passe une très bonne journée
EN CE MERCREDI 12 AOUT 2015 ?
J'espère que tu vas bien ? Bisous @ demain
bluestar054, Posté le mercredi 24 juin 2015 17:24
☆ Bonsoir
Mon passage pour te souhaiter
Une excellente soirée..bonne nuit ☆
..........()""""() à demain
.........(..*o*..) Biz
=()=(,,)-----(,,)=()=()=()=()=()=()=()=()=()
bluestar054, Posté le lundi 22 juin 2015 14:12
Bonsoir
je te souhaite une très bonne soirée...
j ai eu droit à du temps gris et pluie
toute la journée et ça continue pfff....Biz
ANGE-AMOUR-DES-DAUPHINS, Posté le jeudi 18 juin 2015 01:52
♥♥♥ღڪےღڰۣ✿ღڰۣ ♥♥♥ ღڰۣ✿ღڪےღڰۣ✿♥♥♥♥
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♥♥♥✿ღڪےღڰۣ✿ღڰۣ ♥♥♥ ღڰۣ✿ღڪےღڰۣ✿♥♥♥
(l)(l):)Coucou :)(l)(l)
J'ai besoin
D'une minute pour t'envoyer
Un beau sourire.
De deux minutes pour te donner
Sur tes joues, 2 Gros Bisous.
Et quelques secondes pour
Te souhaiter une Bonne journée
Gros bisous
ஓܔஓܔஓܔஓܔஓܔஓܔஓܔஓܔஓܔ ♥♥♥♥
bluestar054, Posté le lundi 01 juin 2015 16:01
Bonsoir,
Mon petit tour sur ton blog
pour te souhaiter une bonne soirée.
A demain ..biz
silvertimes67, Posté le mercredi 27 mai 2015 05:58
Bonjour
beau temps, pas froid, ciel couvert
Speed est au pré pour la journée à brouter l'herbe, il sera rentré ce soir
Grace sort dans le jardin, elle surveille les ouvriers leur aboie dessus
je bosse cet après-midi je repasserai ce soir après le travail
Bon mercredi
Passe une bonne journée
rlyne, Posté le mardi 26 mai 2015 02:54
je pense que c'est toujours pareil pour ton blog car je suis sur la page 50
bisous
lachipie86, Posté le lundi 25 mai 2015 07:44
coucou
tres bon lundi
ici tps mitigé mais pas de pluie
bisou
sandra
pattybijoux, Posté le samedi 23 mai 2015 05:23
Angélus
II
Si le son de la cloche est triste, il l’est bien plus
L’hiver, quand vient la nuit et quand c’est l’angelus
Qui sonne lourdement au clocher du village,
Rythmé par les sanglots de la mer sur la plage.
Dans les c½urs son écho lugubre retentit :
Celle qui reste songe à celui qui partit
Sur sa barque parmi la brume et la tempête,
Et se demande, auprès du rouet qui s’arrête,
Si là-bas, dans les flots, son homme, le marin,
A comme elle entendu les coups du grave airain,
Et si, malgré la lame affreuse qui grommelle,
Il s’est bien souvenu de se signer comme elle.
Ayant sonné la cloche et dit les oraisons,
Les deux vieillards allaient regagner leurs maisons
Et se disaient adieu sur le seuil de l’église,
Quand ils virent, gisant sur une pierre grise,
Quelque chose de blanc qu’on avait laissé là ;
Et, s’étant approchés tous deux, il leur sembla
Que cela remuait vaguement. Le vieux prêtre,
Inquiet, se pencha vite et put reconnaître
Que c’était un pauvre être à peine emmailloté,
Un enfant qu’une mère horrible avait jeté,
Profitant du sommeil confiant de l’enfance,
En passant, dans ce coin, presque nu, sans défense,
Comme un voyageur las jette au loin son fardeau.
« Hélas ! dit le curé, qui des mains du bedeau
Prend le pauvre petit, notre raison humaine
Est folle en voulant fuir la route où Dieu la mène.
Vous avez vu par nous vos desseins outragés,
Dieu très juste, et voici comment vous vous vengez.
L’autre soir, nous sentions dans nos âmes farouches
Fermenter les désirs coupables, et nos bouches
Ont prononcé tout bas des propos envieux.
Mais vous vous êtes dit : « Ces deux hommes sont vieux :
« Leur voyage fut long ; ils sont las de leur course ;
« Ils ont besoin d’un peu d’ombre et de quelque source ;
« Ce sont de vrais chrétiens, ce sont de bons amis ;
« Il faut leur pardonner. » Et vous avez permis
Que notre foi n’eût plus même ce seul obstacle.
Merci ! Que cet enfant, donné par un miracle,
Bonheur que nos vieux jours n’auraient jamais rêvé,
Porte le nom de l’heure où nous l’avons trouvé :
Qu’il s’appelle Angelus ! c’est un nom de prière.
Mon Angelus, je vous baptise au nom du Père,
Du Fils et de l’Esprit !
- Amen ! » dit le soldat.
Et, de peur que le vent de mer n’incommodât
Davantage l’enfant tout transi sur les pierres
Et qui ne rouvrait pas encore ses paupières,
En prenant à travers un terrain labouré
Ils rentrèrent en hâte au logis du curé.
Là, pour faire du feu, le soldat s’agenouille ;
De son vieux manteau noir le curé se dépouille
Et reste ainsi, portant le petit sur les bras,
Et tout semblable, dans son naïf embarras,
Au saint Vincent de Paul des naïves images.
Jadis un autre enfant, celui vers qui les mages,
Écoutant dans le ciel un mystique concert
Et suivant une étoile à travers le désert,
Vinrent pour présenter l’or, l’encens et la myrrhe,
L’enfant divin, l’enfant Jésus qu’encore admire
Le monde qui pourtant a brisé tous ses dieux,
L’enfant de Bethléem parut moins radieux,
Dans sa crèche adorable, aux pèlerins augustes,
Que cet enfant trouvé ne parut à ces justes,
Lorsque sur le lit blanc et pur comme un berceau
Ils l’eurent déposé dans son sommeil d’oiseau,
Et que sous le profond rideau qui se soulève
Ils le virent tous deux continuer son rêve.
« Oui-da ! dit le soldat qui tenait le rideau,
Le bon Dieu nous a fait un bien joli cadeau.
Nous voulions un enfant, c’est comme dans un conte,
Le voilà. Nous allons l’élever et, j’y compte,
Plus tard en faire un gars robuste et bien portant.
C’est entendu, monsieur le curé. Mais pourtant
Il faut aussi songer à ce qui va s’ensuivre.
Vous êtes, vous, d’abord, éduqué comme un livre :
L’enfant saura de vous tout ce qu’il faut savoir.
Moi, pour les menus soins, je me flatte d’avoir
La chose d’employer le fil et les aiguilles.
Mais, voilà : nous avons vécu loin des familles,
Loin des berceaux ; jamais on ne nous révéla
Comme on s’y prend avec ces petits êtres-là.
Leur parler, vous savez le langage des anges,
Ce n’est rien. Mais ôter et remettre leurs langes,
Les nourrir comme il faut et leur dire ces chants
Qui les font s’endormir alors qu’ils sont méchants,
Les soigner, eux toujours malades et débiles,
A cela, voyez-vous ! nous serons malhabiles.
Qu’y faire ? Une servante ?… Eh ! nous ne pourrions pas
La payer. Faites-vous toujours vos deux repas ?
Pour nous, les serviteurs sont des gens trop avides.
Et tous vos pauvres, qui s’en iraient les mains vides !
Puis, quel autre aussi bien que nous en aurait soin ?
- Comment, une servante ! il n’en est pas besoin,
Dit le vieux prêtre avec son bon regard sincère.
Nous saurons bien ce qui lui sera nécessaire.
Nous désirions un fils, Dieu nous l’envoie : ainsi,
Ce n’est pas, à coup sûr, pour qu’il sorte d’ici.
En lui donnant d’abord toute notre tendresse,
Nous ne commettrons pas de grave maladresse.
Nous sommes, il est vrai, très pauvres ; mais enfin
Notre enfant ne mourra ni de froid ni de faim :
J’ai de beau linge blanc tout plein ma vieille armoire,
Et je pourrais encor vous remettre en mémoire,
Mon cuisinier d’un jour, que, quand vient Monseigneur,
Notre hospitalité nous fait assez d’honneur,
En ajoutant tout bas que pour Son Éminence
Un jour passé chez moi n’est pas jour d’abstinence.
- Vos poulets ? votre vin ? pour qui ? pour ce petit ?
Mais à son âge on n’a pas si bon appétit
Qu’un archevêque ; et c’est bien plus tard qu’on les sèvre.
- Eh bien, en attendant, nous aurons une chèvre…
Et puis je vous défends de rire du clergé.
- Bien, ne vous fâchez pas, la bonne a son congé.
C’est dit. L’enfant aura d’abord quelque surprise
De votre robe noire et de ma barbe grise ;
Mais nous lui sourirons ; puis, nous n’y pouvons rien.
Vous, monsieur le curé, pour sûr, vous saurez bien
Ce qu’il lui faut, vous qui savez soigner les âmes ;
Les vieux prêtres, mais c’est aussi doux que les femmes !
Et vous avez les mains blanches comme les leurs.
Moi, j’aimerai l’enfant comme j’aime mes fleurs,
Et nous pourrons mener jusqu’au bout ce caprice,
D’apprendre le métier de mère et de nourrice. »
Et pendant ce temps-là le pauvre enfant trouvé,
Sur l’oreiller moelleux, comme sur le pavé,
Dormait toujours, charmant d’abandon et de grâce.
Les deux vieillards baisaient sa petite main grasse,
Et puis la reposaient doucement sur le lit.
Comme on penche le front sur un livre qu’on lit,
Ils se tinrent longtemps inclinés sur sa couche,
Retenant leur haleine et le doigt sur la bouche.
Puis, par un enfantin regard persuadant
L’autre qui lui faisait signe d’être prudent,
Et comme n’y pouvant résister, le vieux prêtre,
Au risque d’éveiller le charmant petit être,
Silencieusement le baisa sur le front.
Angelus ébaucha de son bras rose et rond
Ce geste vague et mou du réveil qui s’approche,
Tandis que, s’adressant en secret un reproche,
Vite se reculait le vieil audacieux,
Au fond très satisfait de voir s’ouvrir les yeux
De l’enfant, comme afin d’orienter ses voiles
Le marin est heureux du lever des étoiles.
L’enfant, qui s’éveilla doucement, leur sourit.
Alors, courbant le front, le bon curé le prit
Dans ses mains, que rendaient fébriles son grand âge,
Mais que la peur faisait trembler bien davantage ;
Et, se sentant le c½ur plus inquiet encor
Que le jour où, vêtu de la chasuble d’or,
Et selon la promesse aux chrétiens garantie,
Pour la première fois il consacra l’hostie,
Il vint s’asseoir auprès du feu qui pétillait ;
Et, cependant qu’avec lenteur il dépouillait
L’enfant de ses haillons liés par des ficelles,
S’étonnant de ne pas lui découvrir des ailes,
Le fossoyeur, avec un air tout réjoui,
Se tenait immobile et debout devant lui,
L’encourageant des yeux et le regardant faire.
Et cette heure leur fut exquise. L’atmosphère
Était intime. A peine entendait-on le bruit
Du vent et de la mer qui pleuraient dans la nuit.
Le colza sec brûlait, clair, dans la cheminée ;
Toute la vieille chambre était illuminée.
La bouilloire chantait gaîment devant le feu
En laissant échapper son mince filet bleu ;
Et le petit enfant, frêle espérance d’âme,
Content de se sentir tout nu devant la flamme,
Sur les genoux des deux vieillards extasiés
Serrait ses petits poings, frottait ses petits pieds
Et murmurait, le front ballant et l’½il atone,
Son doux vagissement heureux et monotone.
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bluestar054, Posté le dimanche 10 juillet 2016 15:38
"< Bonsoir
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...>,"< .. Mon petit
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.........>,"< .. passage
.._/|_
.>,"< .. sur ton joli blog
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......>,"< .. pour te souhaiter
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............>,"< .. une agréable soirée
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.>,"< . très bonne nuit
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