Je suis en train d'apprendre un nouveau métier, celui de sellier-harnacheur. Voici quelque photo de ma première semaine de stage avant de pouvoir aller en formation. Découpage de pièce de cuir avec un emporte pièce sur un presse, puis trou réalisé a l'emporte pièce et au maillet. Pour obtenir ceci, petites fleures avec anneau posé sur des grandes chaps (protection de cuir pour protéger les jambes lors du travail agricole, équestre ...;) pour réaliser la fermeture au...
Oo-O-Fil-Du-Temps-oO, Posté le lundi 22 février 2016 04:20
il fait un beau soleil mais pas comme hier
acteursactrices, Posté le lundi 22 février 2016 04:14
La peste
Pierre Corneille
J’ai vu la peste en raccourci :
Et s’il faut en parler sans feindre,
Puisque la peste est faite ainsi,
Peste, que la peste est à craindre !
De c½urs qui n’en sauraient guérir
Elle est partout accompagnée,
Et dût-on cent fois en mourir,
Mille voudraient l’avoir gagnée.
L’ardeur dont ils sont emportés,
En ce péril leur persuade,
Qu’avoir la peste à ses côtés,
Ce n’est point être trop malade.
Aussi faut-il leur accorder
Qu’on aurait du bonheur de reste,
Pour peu qu’on se pût hasarder
Au beau milieu de cette peste.
La mort serait douce à ce prix,
Mais c’est un malheur à se pendre
Qu’on ne meurt pas d’en être pris,
Mais faute de la pouvoir prendre.
L’ardeur qu’elle fait naître au sein
N’y fait même un mal incurable
Que parce qu’elle prend soudain,
Et qu’elle est toujours imprenable.
Aussi chacun y perd son temps,
L’un en gémit, l’autre en déteste,
Et ce que font les plus contents
C’est de pester contre la peste.
passionducrochet, Posté le lundi 22 février 2016 04:08
coucou
je viens te souhaiter une bonne semaine à toi aussi
ici c'est avec le retour de la pluie
passe une bonne journée
bizzzz, Jany
pattyvend, Posté le lundi 22 février 2016 03:39
La peste
Pierre Corneille
J’ai vu la peste en raccourci :
Et s’il faut en parler sans feindre,
Puisque la peste est faite ainsi,
Peste, que la peste est à craindre !
De c½urs qui n’en sauraient guérir
Elle est partout accompagnée,
Et dût-on cent fois en mourir,
Mille voudraient l’avoir gagnée.
L’ardeur dont ils sont emportés,
En ce péril leur persuade,
Qu’avoir la peste à ses côtés,
Ce n’est point être trop malade.
Aussi faut-il leur accorder
Qu’on aurait du bonheur de reste,
Pour peu qu’on se pût hasarder
Au beau milieu de cette peste.
La mort serait douce à ce prix,
Mais c’est un malheur à se pendre
Qu’on ne meurt pas d’en être pris,
Mais faute de la pouvoir prendre.
L’ardeur qu’elle fait naître au sein
N’y fait même un mal incurable
Que parce qu’elle prend soudain,
Et qu’elle est toujours imprenable.
Aussi chacun y perd son temps,
L’un en gémit, l’autre en déteste,
Et ce que font les plus contents
C’est de pester contre la peste.
605sri, Posté le lundi 22 février 2016 01:57
Bonjour
mon amie
Si un jour un oiseau
Sur ton balcon venait se poser
Invite le a entrer
Demande lui de te chanter un air très doux
Au loin le vent lui a soufflé
De ne jamais t'abandonner
Écoute le te murmurer une mélodie de sérénité
Laisse tes yeux s'emerveiller de la splendeur
De la beauté que la nature nous a donné
Marche d'un pas léger, laisse la vie t'envelopper
C'est avec ce jolie poème
Que je te souhaite une très bonne journée
bisous, ton amie
zet-momo, Posté le lundi 22 février 2016 01:01
bonjour toi
a tu passé un bon wk
moi ca etait samedi bossé
et dimanche repos et revoila
une nouvel semaine qui
se remet en route et la dernier
du mois bon passe une bonne
journée gros bisou josette ton amie
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Oo-O-Fil-Du-Temps-oO, Posté le lundi 22 février 2016 04:21
à bientôt