Ayant un projet professionnel de monter un atelier de sellier harnacheur, il faudra bien des outils donc gentillement je vais acheter mes outils. Voici les premiers : Pince à coudre le cuir, elle me permet de tenir le cuir pour le coudre à la main. Le deuxième outil est un fOrmoir en buis il trace la ligne au dessus de la couture. Trouvé sur une brocante des alènes pour percer le cuir avant la couture et des compas à pointes sèche pour tracer la ligne de couture. ...
L-A-I-K-A, Posté le samedi 14 mai 2016 14:50
travaillée dans la mauvaise humeur ça ne sait pas allée ça
CiscoO-bbey, Posté le samedi 14 mai 2016 14:31
bonsoir
je passe doucement sur ton beau blog
afin de te souhaiter
une douce soirée
suivie d'une belle et reposante nuit.
gros kiss d'amitié annie & ses loulous
anniedentelle, Posté le samedi 14 mai 2016 13:53
bonsoir
merci de ta visite
passe une agréable soirée
amitié
passionducrochet, Posté le samedi 14 mai 2016 13:52
,¡|i¹i|¡,
¹i|¡,¡|i¹ *coucou*
je viens te souhaiter
un agréable weekend à toi aussi
ici on a eu la pluie toute la journée
merci pour le compliment
passe une bonne soirée
,¡|i¹i|¡,* bizzzzz * ,¡|i¹i|¡,
¹i|¡,¡|i¹ **Jany** ¹i|¡,¡|i¹
acteursactrices, Posté le samedi 14 mai 2016 13:17
Voeu
Paul Verlaine
Ah ! les oaristys ! les premières maîtresses !
L’or des cheveux, l’azur des yeux, la fleur des chairs,
Et puis, parmi l’odeur des corps jeunes et chers,
La spontanéité craintive des caresses !
Sont-elles assez loin toutes ces allégresses
Et toutes ces candeurs ! Hélas ! toutes devers
Le printemps des regrets ont fui les noirs hivers
De mes ennuis, de mes dégoûts, de mes détresses !
Si que me voilà seul à présent, morne et seul,
Morne et désespéré, plus glacé qu’un aïeul,
Et tel qu’un orphelin pauvre sans s½ur aînée.
Ô la femme à l’amour câlin et réchauffant,
Douce, pensive et brune, et jamais étonnée,
Et qui parfois vous baise au front, comme un enfant !
perroquet55, Posté le samedi 14 mai 2016 13:07
Bonjour, grosse chute des températures......
Bonne et agréable fin de journée......
Gisèle......Jean
pattyvend, Posté le samedi 14 mai 2016 12:58
Voeu
Paul Verlaine
Ah ! les oaristys ! les premières maîtresses !
L’or des cheveux, l’azur des yeux, la fleur des chairs,
Et puis, parmi l’odeur des corps jeunes et chers,
La spontanéité craintive des caresses !
Sont-elles assez loin toutes ces allégresses
Et toutes ces candeurs ! Hélas ! toutes devers
Le printemps des regrets ont fui les noirs hivers
De mes ennuis, de mes dégoûts, de mes détresses !
Si que me voilà seul à présent, morne et seul,
Morne et désespéré, plus glacé qu’un aïeul,
Et tel qu’un orphelin pauvre sans s½ur aînée.
Ô la femme à l’amour câlin et réchauffant,
Douce, pensive et brune, et jamais étonnée,
Et qui parfois vous baise au front, comme un enfant !
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L-A-I-K-A, Posté le samedi 14 mai 2016 14:51
vivement que tu es fini