Formation sellier harnacheur

Horse-ofdream, Posté le mercredi 01 février 2017 06:01

0ui le temps ce radoucie la c'est mieux :)

Horse-ofdream, Posté le mercredi 01 février 2017 06:01

oh j'ai aussi du retard sur les publications donc ce n'est pas grave :p

Horse-ofdream, Posté le mercredi 01 février 2017 06:01

Coucou :)

Ma--Hamster--Lulu, Posté le mercredi 01 février 2017 05:44

ou tu avais que elle ?

Ma--Hamster--Lulu, Posté le mercredi 01 février 2017 05:44

tu en na d autre ?

Ma--Hamster--Lulu, Posté le mercredi 01 février 2017 05:44

ça vit combien de temps normalement ?

Ma--Hamster--Lulu, Posté le mercredi 01 février 2017 05:44

ah oui comme meme

Ma--Hamster--Lulu, Posté le mercredi 01 février 2017 05:44

tu vas bien ?

Ma--Hamster--Lulu, Posté le mercredi 01 février 2017 05:44

coucou ma belle

acteursactrices, Posté le mercredi 01 février 2017 05:32

Le Passé

! Happy years ! Once more who would not be a boy ?
Byron.
Passé, matins riants, bienheureuses années,
Candeurs des jours éteints, illusions fanées,
Ah ! pour vous ressaisir, vous que nous pleurons tant,
Ah ! qui donc ne voudrait redevenir enfant !
Comme ils sont loin déjà, les jours de mon enfance !
La vie en moi s’ouvrait dans sa fleur d’innocence ;
De mon être imprégné d’odorante fraîcheur
Un parfum printanier montait vers le Seigneur ;
Et, tel qu’un arbre en fleur, mon esprit plein de sèves
Berçait au vent de Dieu la beauté de ses rêves !
Du chant voilé des eaux, du bruit mourant des bois
J’enivrais mon oreille et j’emplissais ma voix ;
Ma Muse se baignait, blonde et jeune d’années,
Dans les moites senteurs des vertes matinées ;
Et l’inspiration au virginal essor
Se levait sur mon âme ainsi qu’une aube d’or.
Poète, oh ! je l’étais alors ! et mes pensées
S’épandaient dans les airs en ondes cadencées,
Et, comme un lac au fond des bois mystérieux,
Pures, réfléchissaient la pureté des cieux.
De la foi sur mes jours brillait encor l’étoile ;
Je trouvais Dieu partout sans mystère et sans voile :
Je l’entendais parler dans le bruit des roseaux,
Je l’entendais chanter dans la voix des oiseaux,
Je le sentais passer dans les larges haleines
Des brises ondoyant au sein profond des plaines ;
Je le voyais sourire et briller plus qu’ailleurs
Dans la splendeur de l’astre et la gloire des fleurs !
Et de mon âme ouverte, effusion première,
Montait ma poésie en strophes de lumière ;
Et, tel que la colombe à l’harmonieux vol,
Mon esprit sans effort se détachait du sol
Et dans les feux de l’aube, aux voûtes éternelles,
N’avait pour s’élever qu’à déployer les ailes !
Mais ces temps ne sont plus ! Sans flamme et sans accords,
Je languis désormais sous les chaînes du corps.
Mon luth n’a plus de corde où vibre l’espérance ;
Ma voix est un sanglot, mon chant, une souffrance ;
Et, comme cet arbuste aux larmes d’ambre et d’or,
A qui le fer cruel fait saigner son trésor,
Trahissant à mes flancs de secrètes morsures,
Mes vers ne coulent plus qu’à travers mes blessures !
Et ces vers douloureux, cette amère liqueur,
Goutte à goutte, en secret, s’épanchant de mon cœur,
Me font plus douce encor la douce poésie
Dont s’abreuvait, enfant, ma jeune fantaisie.
Et je songe avec pleurs à mon enfance aux bois,
A ma lyre facile, à mes chants d’autrefois,
A ces jours où, pareils au lys de ma colline,
Essaim mélodieux à la voix cristalline,
Mes frais pensers, ouvrant leurs ailes de blancheur,
D’un naturel essor s’en allaient au Seigneur !
Et je me dis alors, pris du mal de la vie,
Et vers mes jours éteints tournant des yeux d’envie :
Pour croire et pour aimer, pour prier et chanter,
Pour se sentir vers Dieu palpiter et monter,
Pour déborder de foi, de sève et de puissance,
Pour revêtir d’Abel la robe d’innocence,
Pour être fort et pur, candide et triomphant,
Ah ! qui donc ne voudrait redevenir enfant !

pattyvend, Posté le mercredi 01 février 2017 05:11

Le Passé

! Happy years ! Once more who would not be a boy ?
Byron.
Passé, matins riants, bienheureuses années,
Candeurs des jours éteints, illusions fanées,
Ah ! pour vous ressaisir, vous que nous pleurons tant,
Ah ! qui donc ne voudrait redevenir enfant !
Comme ils sont loin déjà, les jours de mon enfance !
La vie en moi s’ouvrait dans sa fleur d’innocence ;
De mon être imprégné d’odorante fraîcheur
Un parfum printanier montait vers le Seigneur ;
Et, tel qu’un arbre en fleur, mon esprit plein de sèves
Berçait au vent de Dieu la beauté de ses rêves !
Du chant voilé des eaux, du bruit mourant des bois
J’enivrais mon oreille et j’emplissais ma voix ;
Ma Muse se baignait, blonde et jeune d’années,
Dans les moites senteurs des vertes matinées ;
Et l’inspiration au virginal essor
Se levait sur mon âme ainsi qu’une aube d’or.
Poète, oh ! je l’étais alors ! et mes pensées
S’épandaient dans les airs en ondes cadencées,
Et, comme un lac au fond des bois mystérieux,
Pures, réfléchissaient la pureté des cieux.
De la foi sur mes jours brillait encor l’étoile ;
Je trouvais Dieu partout sans mystère et sans voile :
Je l’entendais parler dans le bruit des roseaux,
Je l’entendais chanter dans la voix des oiseaux,
Je le sentais passer dans les larges haleines
Des brises ondoyant au sein profond des plaines ;
Je le voyais sourire et briller plus qu’ailleurs
Dans la splendeur de l’astre et la gloire des fleurs !
Et de mon âme ouverte, effusion première,
Montait ma poésie en strophes de lumière ;
Et, tel que la colombe à l’harmonieux vol,
Mon esprit sans effort se détachait du sol
Et dans les feux de l’aube, aux voûtes éternelles,
N’avait pour s’élever qu’à déployer les ailes !
Mais ces temps ne sont plus ! Sans flamme et sans accords,
Je languis désormais sous les chaînes du corps.
Mon luth n’a plus de corde où vibre l’espérance ;
Ma voix est un sanglot, mon chant, une souffrance ;
Et, comme cet arbuste aux larmes d’ambre et d’or,
A qui le fer cruel fait saigner son trésor,
Trahissant à mes flancs de secrètes morsures,
Mes vers ne coulent plus qu’à travers mes blessures !
Et ces vers douloureux, cette amère liqueur,
Goutte à goutte, en secret, s’épanchant de mon cœur,
Me font plus douce encor la douce poésie
Dont s’abreuvait, enfant, ma jeune fantaisie.
Et je songe avec pleurs à mon enfance aux bois,
A ma lyre facile, à mes chants d’autrefois,
A ces jours où, pareils au lys de ma colline,
Essaim mélodieux à la voix cristalline,
Mes frais pensers, ouvrant leurs ailes de blancheur,
D’un naturel essor s’en allaient au Seigneur !
Et je me dis alors, pris du mal de la vie,
Et vers mes jours éteints tournant des yeux d’envie :
Pour croire et pour aimer, pour prier et chanter,
Pour se sentir vers Dieu palpiter et monter,
Pour déborder de foi, de sève et de puissance,
Pour revêtir d’Abel la robe d’innocence,
Pour être fort et pur, candide et triomphant,
Ah ! qui donc ne voudrait redevenir enfant !

GEORGINOU1, Posté le mercredi 01 février 2017 03:30

Bonjour,
Je te souhaite de passer une très bonne journée pleine de joie.
Prends soin de toi.
Bisous

chocadia, Posté le mercredi 01 février 2017 03:15

bisous de tous merci du passage

chocadia, Posté le mercredi 01 février 2017 03:15

18 de prévu cet après midi c est top pour la saison

chocadia, Posté le mercredi 01 février 2017 03:15

ah oui ça semble bon ce temps meme si ca ne va pas durer

chocadia, Posté le mercredi 01 février 2017 03:15

bon mercredi a toi

chocadia, Posté le mercredi 01 février 2017 03:14

coucou du matin avec le soleil

agnes1930, Posté le mercredi 01 février 2017 01:08

?* ? ~?*??*? *?~?*
tout dabord merci beaucoup pour tes gentils commentaires merci
Bonjour
Enfin me voici
Pour te souhaiter
Une agréable jounée en ce MERCREDI/1/FEVRIER/2017
Passe un très bon après-midi
Bisous.....?TON AMIE AGNES @ demain
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agnes1930, Posté le mercredi 01 février 2017 01:08

au la la c'est super magnifique bravo

Pakadin, Posté le mardi 31 janvier 2017 21:24

♥
♥
(')•´¨`•(')
.( '◕¸◕' )....BONJOUR
(''►•◄('')♥
(,,,,)❤(,,,,).Je viens te souhaiter.
Une très belle matinée.
Avec de la joie est du bonheu*$
Est pour plus tard
Une douce est tendre journée.
et un bon mercredi
Avec du soleil au coeur
kiss cath :) $)