Et de belle chute de cuir de veau vachette pour faire des doublure de couleur sur les articles
Voici comment les peaux arrivent chez moi avant de les transformer en article Deux demi croupon (une moitié de fesses de vache) Et de belle chute de cuir de veau vachette pour faire des doublure de couleur sur les articles
L-A-I-K-A, Posté le dimanche 26 février 2017 06:17
je fais ça de mon pc le paiement mais içi a la mer pas possible car je n ai pas avec mes codes
et je ne l ai sais pas par coeur
L-A-I-K-A, Posté le dimanche 26 février 2017 06:16
avec mon adresse
l adresse aussi de la librairie ou il faut envoyer
pattyvend, Posté le dimanche 26 février 2017 06:04
Le hibou
À Maurice Rollinat
Il agonise, l’oiseau crucifié, l’oiseau crucifié sur la porte.
Ses ailes ouvertes sont clouées, et de ses blessures, de grandes perles de sang tombent lentement comme des larmes.
Il agonise, l’oiseau crucifié!
Un paysan à l’oeil gai l’a pris ce matin, tout effaré de soleil cruel, et l’a cloué sur la porte.
Il agonise, l’oiseau crucifié.
Et maintenant, sur une flûte de bois, il joue, le paysan à l’oeil gai.
Il joue assis sous la porte, sous la grande porte, où, les ailes ouvertes, agonise l’oiseau crucifié.
Le soleil se couche, majestueux et mélancolique, – comme un martyr dans sa pourpre funèbre;
Et la flûte chante le soleil qui se couche, majestueux et mélancolique.
Les grands arbres balancent leurs têtes chevelues, chuchotant d’obscures paroles;
Et la flûte chante les grands arbres qui balancent leurs têtes chevelues.
La terre semble conter ses douleurs au ciel, qui la console avec une bleue et douce lumière, la douce lumière du crépuscule;
Il lui porte d’un pays meilleur, sans ténèbres mortelles et sans soleils cruels, d’un pays bleu et doux comme la bleue et douce lumière du crépuscule;
Et la flûte sanglote d’angoisse vers le ciel, – qui lui parle d’un pays meilleur.
Et l’oiseau crucifié entend ce chant,
Et oubliant sa torture et son agonie,
Agrandissant ses blessures, – ses saignantes blessures, –
Il se penche pour mieux entendre.
* *
Ainsi es-tu crucifié, ô mon c½ur!
Et malgré les clous féroces qui te déchirent,
Agrandissant tes blessures, tes saignantes blessures,
Tu t’élances vers l’Idéal,
A la fois ton bourreau et ton consolateur.
Le soleil se couche majestueux et mélancolique.
Sur la grande porte, les ailes ouvertes, agonise l’oiseau crucifié.
Pakadin, Posté le samedi 25 février 2017 21:36
Bonjour
J'ai trouvé la clef de ton joli blog
Et je me suis permis de rentrer
Doucement dans ton beau monde
Pour te souhaiter une excellente et
et belle journée
╔═.♥.════════╗
Bon dimanche
╚════════.♥.═╝
Gros kiss
cath
L-A-I-K-A, Posté le samedi 25 février 2017 14:56
si si tu peux commençer ma commande lolll
je prends enfin j achète lolll
L-A-I-K-A, Posté le samedi 25 février 2017 14:55
mais pour le collier de taya tu ne change rien
comme celui de la photo c est super
L-A-I-K-A, Posté le samedi 25 février 2017 14:54
tu auras l adresse
j ai du regarder car le village près de chez moi la librairie ne le fait plus
donc c est un peu plus loin que je devrais aller chercher ton colis
L-A-I-K-A, Posté le samedi 25 février 2017 14:53
bonsoir
je suis arrivée a la mer donc pas eu le temps de t envoyer le mail
mais je fais ça ce soir après mes com's ou au plus tard demain matin
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L-A-I-K-A, Posté le dimanche 26 février 2017 06:18
içi pas de soleil gris et tantot fine pluie pfff